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10 Jui 2016, 13:18 | "Jim Morisson et le Diable boiteux" vidéo de présentation de l'ouvrage
Jim Morrison, l’emblématique chanteur des Doors, vouait un véritable culte à Gene Vincent, l’inoubliable interprète de Be-Bop-A-Lula.
Durant les dernières années de leur courte vie, les deux hommes, prisonniers de leur propre mythe, se lièrent d’une amitié suicidaire nourrie d’alcool, de drogue, d’errances et de blues.
Dans ce roman où les faits réels – de 1968 à 1971 – alimentent la fiction, le lecteur croise John Lennon, Yoko Ono, Alice Cooper, Richard Nixon, Elvis Presley, Charles Manson, entre Los Angeles, Woodstock, Altamont, Miami, Toronto et Paris. Le tout rythmé par les commentaires d’un vieil animateur radio qui a vécu en direct une époque bénie où le rock ’n’ roll fut bien plus qu’une musique de distraction.
Au passage, Michel Embareck se propose, tout en explorant à sa façon cette tranche d’histoire, de résoudre une énigme : Jim Morrison aurait-il été assassiné par overdose pour une sombre affaire d’adultère et de testament ?
Journaliste au mensuel "Best" pendant dix ans, Michel Embareck a aussi collaboré à "Rolling Stone" et "Libération". Il est l’auteur de quelque vingt romans, dont "Avis d’obsèques" et "Personne ne court plus vite qu’une balle" (L’Archipel, 2013 et 2015). | Ce message a été modifé par JO (10 Jui 2016, 13:19) | Citer |
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