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WTMO


18 Aoû 2016, 12:10
Seattle
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jimborrison


23 Sep 2016, 9:26
Krieger fait de la pub pour Tesla
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Nico


27 Sep 2016, 7:21
C'est rigolo !!! Un décors à la HWY. Krieger aura réussi à faire une pub pour une bagnole dans sa vie même s'il n'a pas pu refourguer la musique des Doors.
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Antoine


30 Sep 2016, 11:51
"Get In"
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WTMO


21 Oct 2016, 9:31
Citation de WTMO :
Oubliez ce cd si vous avez "Jim'alive the ultimate Seattle tapes", il est dit "remasterisé", mes coui...., juste pour faire de la thune. C'est juste une pâle copie et avec Jim's alive vous avez une superbe caricature des Doors sur la pochette !
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Grégoire


20 Jan 2017, 1:43
J'ai découvert par hasard hier la sortie d'un nouvel ouvrage sur les Doors : Ship of Fools, chez l'éditeur Le Mot et le Reste, qui fait au passage du très bon travail de ce que j'en ai vu.

Ce message a été modifé par Grégoire (20 Jan 2017, 1:44)Citer
Grégoire


20 Jan 2017, 2:23
Mes excuses, je viens de m'apercevoir qu'il s'agit d'une réédition, et que quelqu'un en a déjà parlé ici. Quelqu'un l'a-t-il lu ?
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jimborrison


22 Jan 2017, 2:02
Faudrait peut-être aussi regarder le sujet ajouté par JO
The Doors : Ship of fools – janvier 2017 (livre).

J'avais rajouté la nouvelle couverture du livre de Steven Jezo-Vannier et le bouquin à paraître de Gorian Delpâture abécé DOORS ainsi que l'émission de la Rtbf consacrée à ces sorties dans le sujet "Spéciale The Doors à l'occasion de la sortie de leur tout premier album il y a 50 ans !"

Gorian Delpâture : « abécéDOORS »

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Loustic


25 Jan 2017, 12:38
Cette excellente radio propose une semaine spéciale Doors (un morceau par demi-heure).
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jimborrison


1 Fév 2017, 1:40
Lancement du livre AbécéDOORS de Gorian Delpâture



Préface de Jacques de Pierpont

Comme beaucoup de gens de la génération née au début des années 50, je suis « tombé en rock » pile poil à un moment magique – en 1965. L’année de la mue du rock’n’roll « primitif » en « rock music ». Plus que les incontournables Beatles et Rolling Stones, les premiers chocs de mon adolescence furent alors Bob Dylan (« Mr Tambourine Man »), The Who (« My Generation ») et The Kinks (« I’m Not Like Everybody Else »).
Mais le véritable éblouissement musical viendra deux ans plus tard avec la découverte d’une paire d’ovnis surgis dirait-on d’une autre dimension : Pink Floyd (la courte période Syd Barrett) et The Doors. Double gros flash : « Astronomy Domine » et « Light my Fire ».
The Doors, surtout. Inclassable, mystérieux, fascinant. Là, rétrospectivement, il y a clairement un avant et un après. J’ai 17 ans. L’âge où une poignée de chansons peut chambouler une vie. (« We want the world… and we want it now ! »)
C’est le début d’une durable connivence émotionnelle ponctuée de quelques beaux instants pivots.
Le premier, janvier 1967 : un disque, « The Doors », sans mention de titre.
(Le premier LP acquis avec mes deniers, 250 francs, après avoir beaucoup écouté chez eux ceux des copains et enfin trouvé un tourne-disque).
Tout y semble… tellement « différent ». L’ampleur du chant, son hypnotisant phrasé déclamatoire. L’unicité profonde du 8 9 son – voix, claviers et guitares en parfaite osmose, au point qu’il semble vain de discerner l’un des autres. La sobriété des arrangements. Le swing latin, la rythmique syncopée. Et le recours (alors si rare en rock) aux temps de silence. Du fulgurant « Break on Through » à l’entêtant final «The End», il se dégage de cet album un inquiétant parfum de transgression presque mystique, très éloigné de l’optimisme folk rock hippie alors dominant.
(Je ne découvrirai que plus tard, trop tard !, lorsque Lou Reed sera remis en selle par Bowie au début des années 70, qu’un autre groupe dégageait alors, sur la Côte Est, une aura sombre d’une veine différente mais de puissance égale : The Velvet Underground).
Le deuxième, août 1970 : l’ultime concert des Doors en Europe, au mégafestival de l’île de Wight. Il est deux heures du matin, le dimanche 29/08. Nichée au bout de la plaine immense, la scène ressemble à une boîte à chaussures, basse sur son socle et basse de plafond, chichement illuminée ; à cent mètres de distance et de biais, on n’en distingue que l’avant. On devine plus qu’on ne voit un Jim Morrison immobile – sa silhouette est comme fixée au pied de micro ; elle ne bougera pas, du début à la fin du concert. Mais la voix, elle, souveraine, déferle sur les centaines de milliers de spectateurs perclus de fatigue, engoncés debout dans leurs sacs de couchage.
Le troisième, juillet 1981 : Ray Manzarek en chair, os et lunettes, face au micro, à Paris. Il est présent au cimetière du Père-Lachaise à l’occasion du dixième anniversaire de la disparition de Jim Morrison – une rencontre rendue possible grâce à un ami belge de l’organiste, Rem, féru de la poésie de Morrison. L’homme est ému… et très conscient du poids de l’héritage à gérer – et du handicap qu’il peut constituer pour la carrière musicale de chacun des survivants. C’est l’occasion aussi de mieux saisir la quintessence de l’entité Doors.
Car, n’en déplaise à ceux qui ne considèrent que la personnalité tumultueuse de son chanteur, il faut dire et redire que le corpus des Doors fut le résultat d’un travail symbiotique de quatre individualités à prendre en considération de manière égale. Le génie de Morrison et l’inventivité des Krieger, Densmore et Manzarek se nourrissaient l’un de l’autre, dans un subtil mais fragile équilibre.
Ensuite ? La décennie qui suit voit un engouement croissant de nouvelles générations pour la musique des Doors ; pour la figure de Morrison, surtout – en témoigne la postermania / T-shirtmania que relança le décevant film d’Oliver Stone en 1990.
Il faudra le décès de Kurt Cobain en 1994 et sa déification rapide pour que ce culte digne de celui du Che s’estompe quelque peu.
Mais le mythe perdure : c’est cette année-là qu’un jeune homme nommé Gorian est passé « on the other side », ce que vous raconte l’avant-propos qui suit !
Jacques de Pierpont

Avant-propos de Gorian Delpâture
Il m’a fallu plus de vingt ans pour écrire ce livre. Il ne s’agit évidemment pas de la durée de la rédaction elle-même. Vous vous en doutez, je ne concours pas dans la même catégorie littéraire que les Marcel Proust et autres James Joyce. Non. Vingt années se sont écoulées entre ma première écoute sérieuse des Doors et le projet de cet abécédaire. Je connaissais le groupe avant de l’écouter. J’avais vu des affiches de Jim Morrison torse nu. J’avais vu des T-shirts de Jim Morrison torse nu. Je savais qu’il était mort à 27 ans. Je savais qu’il y avait un lien entre le groupe et les drogues. Je n’avais d’ailleurs pas voulu regarder la première diffusion du film d’Oliver Stone à la télévision belge car je ne voulais pas cautionner cette histoire de « sales drogués ». Mais j’avais aussi découvert que le chanteur des Doors avait écrit des livres. Je me souviens particulièrement de la couverture d’un recueil de poche intitulé « Une prière américaine et autres écrits » où Morrison apparaissait barbu et habillé pour une fois. Ce livre que lisait un condisciple de l’athénée m’avait intrigué. Ces drogués savaient écrire ? Aussi, un jour d’été 1994, j’ai acheté une cassette (eh oui, ça ne nous rajeunit pas !) des Doors. Il s’agissait d’une copie pirate luxembourgeoise de leur premier album avec les chansons dans le désordre. Je l’ai écoutée sur la plage. Ce n’était pas celle de Venice où Morrison a chanté pour la première fois devant Ray Manzarek, c’était celle de La Panne à la mer du Nord, mais j’aime beaucoup
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cette coïncidence. Et quelle révélation. Cette voix presque effrayante qui me poussait à « allumer le feu » et à m’ « évader de l’autre côté » ; cette longue fresque épique mélangeant « la fin de tout ce qui existe », OEdipe et un serpent de sept miles de long ; cette musique alternant le meilleur rock, des airs carnavalesques, du jazz et du sitar ; je n’avais jamais rien entendu de tel. Et ce n’était que le premier album ! Il y en avait cinq autres avec des « gens étranges », un « soldat inconnu », une « douce parade », « un espion » et un « changeling ». Il y avait des concerts avec une énigmatique « célébration du lézard ». Il y avait ces photos des musiciens : un claviériste à lunettes qui semblait déchiffrer d’anciens mystères sur ses touches, un guitariste au regard vide et aux cheveux en bataille qui semblait errer sur scène, ce batteur très concentré qui ne souriait jamais. Et ce chanteur coiffé comme Alexandre Le Grand. Ces quatre jeunes hommes sortaient du lot. À leur époque dans les années 60. Et encore au moment où je les découvrais trente ans plus tard. Et il y avait des livres de poésie rédigés par le chanteur du groupe. Loin d’être un simple torse nu drogué, c’était surtout un grand amateur de livres qui citait Arthur Rimbaud et Friedrich Nietzsche en interviews. Ils copiaient William Blake, Louis-Ferdinand Céline, Anaïs Nin et James George Frazer dans leurs paroles. Quelle surprise. Je n’avais encore jamais rencontré de rockers lettrés, des musiciens aussi cultivés. Après tout, deux membres des Doors sur quatre étaient universitaires. J’ai tout acheté. Tout vu. Et tout lu. Ce que Jim Morrison a écrit et ce qu’on a écrit sur lui. Des milliers de pages lentement digérées pendant vingt années. Il y avait du bon et du moins bon. Du factuel et du fantaisiste. Du complet et de l’incomplet. Mais aucun ouvrage qui me satisfasse vraiment. Un livre qui raconterait (presque) tout avec des informations recoupées, un texte qui expliquerait les références littéraires des chansons, un document qui ne s’arrêterait pas à la mort de Morrison à Paris en juillet 1971 mais qui continuerait à raconter l’histoire des survivants. Ce livre n’existait pas. Il fallait l’écrire. Avec toutes les informations amassées dans ma bibliothèque et curieusement conservées dans ma mémoire depuis cette première écoute sur la plage, je pouvais le faire. Pour paraphraser Morrison, c’est comme « la corde d’un arc bandée pendant 20 ans et lâchée soudainement. » Le résultat, vous l’avez entre les mains. Cet abécédaire, je l’espère, apprendra quelque chose même aux fans les plus forcenés des Doors. Et il expliquera peut-être aux autres pourquoi cet homme torse nu figure encore aujourd’hui sur les T-shirts d’adolescents dont les parents n’étaient peut-etre même pas nés quand les Doors régnaient sur les classements américains.

Gorian Delpâture
Ce message a été modifé par jimborrison (1 Fév 2017, 8:46)Citer
Geoffrey


6 Fév 2017, 7:01
Selon un utilisateur du forum freedoman qui aurait pu discuter avec Robby lors d'un de ses shows au Whisky, les sorties pour le 50th Anniversary seraient ce qui suit:

- Un évènement en Europe en Juin ou Août (?)
- Isle Of wight va sortir en video en intégralité (ce serait le "unseen footage")
- Un hommage à Ray (?)
- Rien d'autre. La sortie intégrale du Matrix (1st Gen tapes) n'est pas prevue.
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mojo


6 Fév 2017, 7:17
ouaw, cool, un nouveau concert video, encore plus soporifique que le Bowl !
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Geoffrey


6 Fév 2017, 8:15
Ah mais, si tu n'aimes pas les Doors, c'est ton problème :)
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jimborrison


6 Fév 2017, 8:20
Si cela se confirme, effectivement pas grand'chose à se mettre sous la dent, mais mieux que rien quand même. C'est vrai que Wight peut paraître un peu soporifique mais ce concert a été décrié à tort sur le plan musical et la disponibilité de son intégralité est quand même une bonne surprise. Reste à voir ce que serait l'évènement estival europén en question.... Allo Gilles!
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jimborrison


7 Fév 2017, 6:54
Citation de Grégoire :
Mes excuses, je viens de m'apercevoir qu'il s'agit d'une réédition, et que quelqu'un en a déjà parlé ici. Quelqu'un l'a-t-il lu ?


Je viens de l'acheter mais n'ai pas encore eu le temps de le lire. Ce n'est pas une réédition!
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JO


9 Fév 2017, 5:09
Bientôt sortira un livre sur le concert de Miami 69 avec des photos couleurs inédites du show ! Stay tuned ;)
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Miami 69


9 Fév 2017, 11:08
Citation de JO :
Bientôt sortira un livre sur le concert de Miami 69 avec des photos couleurs inédites du show ! Stay tuned ;)


Tiens tiens j'étais pas au courant mais ça m'intéresse !
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JO


9 Fév 2017, 12:34
Tu m'étonnes ;)
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jimborrison


10 Fév 2017, 2:02
Notre créateur et webmaster a repris hier la sortie du livre AbécéDoors de Gorian Delpâture dans la rubrique Nouvelles en exergue du site, merci Joannic!
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jimborrison


10 Fév 2017, 9:21
Nouveau CD à paraître le 17 février :


Robby Krieger IN SESSION sur Amazon.fr (écouter les extraits)
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Geoffrey


10 Fév 2017, 11:01
La dernière track "Backdoor Man" sonne comme un vieux bootleg des Doors (mais n'en est pas un). Très étrange de mettre un titre avec cette qualité !
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jimborrison


10 Fév 2017, 12:06
Je trouve aussi, c'est nul ce son pourri!
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jimborrison


14 Fév 2017, 6:27
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jimborrison


26 Fév 2017, 1:26
THE DOORS GOOD ROCKIN TONIGHT CD LEGENDARY BROADCAST 1972

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jimborrison


15 Mar 2017, 7:54
Couverture du nouveau Rock & Folk du mois d'avril

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