F
O
R
U
M
Voici les messages dans le sujet sélectionné.

Forum>Général>Essais/Nouvelles des membres de Crystal-Ship
Nouveau message

UtilisateurMessage
UniversalMindz


22 Oct 2006, 1:38
Voilou j'ai passée hier après-midi en revue des questions existentielles. Un 'ti essai, si on peut dire cela.

"Spiritualité autour de l'Air du Temps.
La lumière a des milliards d'années que lorsqu'on la regarde, rien n'est plus ancien que l'univers. Peut être que ce sont des âmes. Voyageant à travers le temps et par la lumière des étoiles, recherchant de nouvelles demeures. Ces vies naissantes ne peuvent être enterrées dans la terre froide, mais qu'elles attendent seulement leurs résurrections et l'ordre de Dieu, où dans l'ancienne lumière des étoiles pour que nous puissions reposer en paix. La procession des âmes et des étoiles ne seront jamais détruites, elles resteront toujours là.

Je veux croire que nous sommes ignorants de l'éternelle récompense de Dieu et de la tristesse. Je veux croire que derrière "nos" anges gardiens, nous avions LE Dieu comme pouvait l'être le Roi à l'époque de la Monarchie Absolue. Dans toute cette hiérarchie, c'est le Dieu lui-même qui commande les règnes de la Voie Lactée.

SI "devenir Dieu" c'est devenir immortel: commence à contrôler l'air du temps, les êtres humains, la Dame Nature et renonce à la procréation. Tout maître est devenu esclave un jour... "


Si certain(e)s d'entre vous, écrivent des 'tits textes, essais, nouvelles autres que la poésie [cf: voir le sujet existant], n'hésitez pas à faire part de vos pensées :)
Citer
Modeste et Pompon


22 Oct 2006, 14:33
Dieu est une création de l'impossibilité humaine et ne cherche qu'à nous rabaisser. Compare-toi à Dieu, et tu auras honte de toi.
Compare-toi à d'autres êtres humains, et tu verras si tu es si minable que tu peux penser l'être face à Dieu.

Dieu est-il une lumière pour nous guider? Je le perçois plus comme une ombre pour nous trahir sur ce que nous sommes vraiment.
Citer
michael


23 Oct 2006, 9:24
Dieu, pourrais tu stp me donner les prochains numéros de l'Euromillion?
Citer
Geoffrey


23 Oct 2006, 12:48
Ske tu peux etre beauf quand tu t'y mets !
Citer
Sagittaire


23 Oct 2006, 13:47
^^hahahaha^
Citer
sarah connor


25 Oct 2006, 5:47
L'erreur est humaine.
L'humain est une erreur.
Citer
Sagittaire


25 Oct 2006, 6:59
et l'humeur est sereine.
Citer
sarah connor


25 Oct 2006, 8:37
et la reine se meurt...
Citer
Sagittaire


25 Oct 2006, 9:06
Toute peur est veine...
Citer
Sagittaire


25 Oct 2006, 9:06
*vaine
Citer
sarah connor


27 Oct 2006, 8:20
l'envie demeure
Citer
abdallahgeronimocohen


27 Oct 2006, 8:38
Citation de sarah connor :
l'envie demeure


Tant que la vie ne meurt pas....
Citer
Nico


27 Oct 2006, 8:54
Que la mort du temps tient la vie
Citer
abdallahgeronimocohen


27 Oct 2006, 9:10
L'erreur est humaine.
L'humain est une erreur.
L'humeur est sereine
Quand la reine se meurt.
Toute peur est vaine
lorsque l'envie demeure;
et tant que la vie ne meurt pas,
La mort du temps tient la vie.



Pas mal pour un poeme ecrit à 5 mains !!!!

lol
Citer
abdallahgeronimocohen


27 Oct 2006, 9:11
4 mains ........pardon.





P.....ain de fonction "edit" !!!!
Citer
sarah connor


27 Oct 2006, 9:12
à la vie, à l'amour !
Citer
abdallahgeronimocohen


27 Oct 2006, 9:14
De l'amour, de l'art et du cochon...
Citer
sarah connor


27 Oct 2006, 9:14
ah merde, trop lente !
merci pour cet intermède. Je pars en Week end voir l'océan.
Citer
Geoffrey


27 Oct 2006, 9:25
- Sarah Connor?
Citer
Geoffrey


27 Oct 2006, 9:25
...
Citer
Geoffrey


27 Oct 2006, 9:26
- C'est à côté.
Citer
Sagittaire


27 Oct 2006, 9:36
hah...

*doom doom*
Citer
sarah connor


3 Nov 2006, 7:44
I'll be back ;)
Citer
Bolterlourd


4 Nov 2006, 12:57
Une nouvelle que j'ai écrit il y a quelques temps déja, un ensemble des sentiments qui me traversaient à l'époque, fougue des premiers amours, peur, romantisme, question existielle, il en résulte un texte un peu pompeux, sordide et désorganisé.
Mais bon, beaucoup de fille m'ont adulée après l'avoir lu, alors peu être que c'est bien tout compte fait , je n'ai pas d'avis sur ma création.



Adieu.





Aujourd’hui, il pleut dans ma tête. La voix du ténor vibre dans l’opéra, et sa mélancolieuse voix me fait rappeler nos derniers souffles.

Bien sûr que le loup a hurlé plus d’une fois sous la lune et bien sûr que les balles sifflent encore sur les champs de bataille.
Je vois des corps écorchés et des enfants se vautrant dans le sang.
J’entends les cris d’une femme que l’on viole et ceux d’un phoque que l’on massacre sur la banquise.
Je sens l’odeur d’une charogne se décomposant au soleil.

Ma plume tachée d’encre cherche à ouvrir mon esprit, mais n’y parviens en aucune façons.
Quand je relis ces pages et ces pages, je n’y vois qu'une illusion, serait parce que les mots sont bien trop pure ou bien trop pauvre pour définir l’humaine condition?
La seule chose que je sais des mots, c’est qu’ils sont les auxiliaires du sexe.

Sans doute que les impuissants sont les seuls hommes libre sur terre, je les envie autant que je les ai en pitié.
Comment aurais je pus me pardonner de ne pas avoir aimé ton corps comme je l’ai fait ?
Mais comment pourrais-je un jour me pardonner de ne plus t’aimer ?
Comment te le dire ?
Comment te l’avouer ?

A l’est l’horizon est nimbé de flamme alors qu’à l’ouest il n’y a que le néant. Aucune de ces deux routes n’est sûre.
Je suis perdu, brisé, mon âme chavire, oscillant entre le réel et l’irréel.
Tout serait si simple s’il n’y avait rien, seulement rien, ni vie, ni mort, ni amour, ni haine, ni vide, ni pleins.
Sans doute n’ai je jamais rien ressenti pour toi ou bien sans doute t’ai je toujours aimé.

Mon cœur bat si fort.
Le sang me tape aux tempes et gorge mon sexe.
Je sens, puis…qu’est ce ?... mon cerveau me trahit, feintant tes saveurs à mes sens.
Je me rappelle ma langue descendant lentement un long escarpement avant de se perdre dans un gué.
Je me rappelle l’odeur de ta cyprine, ce fruit défendu. Ce flot acidulé coulant le long de tes lèvres entrouvertes.
Mon cœur bat, bat, bat.
J’ai besoin de te toucher, de caresser tes seins.
Viens à moi une dernière fois, non plus par illusion, mais par désir.

N’es pas peur et tiens moi la main, regardons ensemble la lune.
Rappelle-toi ces mensonges, drogues dur de l’âme et de la chair, profanant et pillant d’étranges mines. Ils nous ont finalement brisés !
La torpeur nous assaille et tout nous parait à présent comme plus clair!
Regarde ! Les portes s’ouvrent, mais aucunes lumières n’en sortent.
Non, derrière, se cache simplement un fruit pourrit qu’autrefois nous pensions mûre pour toujours.

Tes caresses me font perdre conscience et je bascule dans cette danse millénaire.
Ma bouche descend le long de ta gorge et embrasse tes seins.
Je lèche le haut de tes cuisses.
Ton bas ventre te brule,
L’air te manque,
Tu deviens folle !
Ton corps se convulsionne, se plaquant contre mon visage,
C’est alors que ma bouche revient subitement contre la tienne.
Ton sexe se consume de désir,
Et je ne peux plus continuer à te faire languir.
Tes mains tirent mes cheveux et tes dents mordillent mes oreilles,
Sans doute est-ce parce que mes doigts se fondent dans ta chair.

Tu me dis que tu m’aimes,
Et nos deux corps finissent enfin par s’unir.
Tu prononces des murmures incompréhensibles.
Ton souffle chaud brule mon visage.
L’opéra se remplit.
La lune est pleine.
Le rythme de la danse s’accélère, la voix du ténor tonne et le loup hurle.
Puis le temps explose, nos deux corps s’arrachent à la vie.
Serrées l’une contre l’autre, nos deux âmes s’unissent.

Tous s’évanouit, ce n’était que des mots, une illusion, n’est ce que cela, la vie ?

« Adieu mon amour »
Citer
Pam


4 Nov 2006, 13:55
non moi je dis: c'est mieux que ta vidéo! ;)

très joliment écrit, mais un peu dégoûtant quand-même, hein!
Citer
Page 1 2

Vous n'êtes pas connecté.
Perdu votre mot passe ?
Nouveau message | Nouvel utilisateur | Recherche